Devenir client

Vous êtes déjà client ? Nous vous invitons à contacter votre banquier privé. 
Vous n’êtes pas client mais aimeriez en savoir plus ? Merci de remplir le formulaire ci-dessous.

Contacts locaux

France : +33 (0) 1 53 43 87 00 (9h - 18h)
Luxembourg : +352 47 93 11 1 (8h30 - 17h30)
Monaco : +377 97 97 58 00 (9h/12h - 14h/17h)
Suisse : Genève au +41 22 819 02 02
et Zurich au +41 44 218 56 11 (8h30 - 17h30)

Vous souhaitez nous contacter au sujet de la protection de vos données personnelles ?

Merci de bien vouloir contacter le Délégué à la Protection des Données de Société Générale Private Banking France en envoyant un e-mail à l'adresse suivante : protectiondesdonnees@societegenerale.fr.

Merci de bien vouloir contacter le Délégué à la Protection des Données de Société Générale Luxembourg en envoyant un e-mail à l'adresse suivante : lux.dpooffice@socgen.com

Pour les clients résidant en Italie, merci de bien vouloir contacter le prestataire externe BDO en charge de la Protection des Données en envoyant un e-mail à l’adresse suivante :    lux.dpooffice-branch-IT@socgen.com

Merci de bien vouloir contacter le Délégué à la Protection des Données de Société Générale Private Banking Monaco en envoyant un email à l'adresse suivante : list.mon-privmonaco-dpo@socgen.com

Merci de bien vouloir contacter le Délégué à la Protection des Données de Société Générale Private Banking Suisse en envoyant un e-mail à l'adresse suivante : ch-dataprotection@socgen.com

Vous souhaitez faire une réclamation ?

Société Générale Private Banking a l’ambition de vous apporter la meilleure qualité de service possible. Toutefois, des difficultés peuvent parfois survenir dans le fonctionnement de votre compte ou dans l’utilisation des services mis à votre disposition.

Votre banquier privé  est votre interlocuteur privilégié pour recueillir et traiter votre réclamation.

En cas de désaccord avec votre banquier privé ou d’absence de réponse de sa part, vous pouvez adresser votre réclamation à la Direction de Société Générale Private Banking France en envoyant un e-mail à : FR-SGPB-Relations-Clients@socgen.com ou un courrier à l'adresse suivante : 

Société Générale Private Banking France
29 boulevard Haussmann CS 614
75421 Paris Cedex 9

Société Générale Private Banking France s’engage à accuser réception de votre réclamation sous 10 (dix) jours ouvrables à compter de la date de son envoi et à vous apporter une réponse dans un délai de 2 (deux) mois à compter de cette même date. Si nous ne sommes pas en mesure de respecter ce délai de 2 (deux) mois, vous en serez informé par courrier. 

En cas de désaccord avec la banque ou d’absence de réponse dans un délai de 2 (deux) mois après l’envoi de votre première réclamation écrite, ou de 15 (quinze) jours ouvrables pour une réclamation portant sur un service de paiement, vous pouvez saisir gratuitement, selon la nature de votre réclamation : 

 

Le Médiateur de la consommation auprès de la Fédération Bancaire Française

Le Médiateur de la consommation auprès de la Fédération Bancaire Française (FBF) est compétent pour les différends relatifs aux services fournis et aux contrats conclus en matière d’opérations de banque (gestion de compte de dépôt, opération de crédit, services de paiement par exemple), de services d’investissement, d’instruments financiers et de produits d’épargne, ainsi qu’à la commercialisation des contrats d’assurance.

Le Médiateur auprès de la FBF vous répondra directement, dans un délai de 90 (quatre-vingt-dix) jours à compter de la date à laquelle il aura reçu tous les documents sur lesquels est fondée la demande. En cas de litige complexe, ce délai peut être prolongé. Le Médiateur auprès de la FBF formulera une position motivée qu’il soumet à l’approbation des deux parties.

Vous pouvez saisir le Médiateur auprès de la FBF par voie électronique sur le site internet du Médiateur : www.lemediateur.fbf.fr ou en adressant un courrier à l’adresse suivante :

Le Médiateur de la Fédération Bancaire Française
CS 151
75422 Paris CEDEX 09

 

Le Médiateur de l’Autorité des Marchés Financiers

Le Médiateur de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) est également compétent pour les différends relatifs aux services d’investissements, aux instruments financiers et aux produits d’épargne financière.

Pour ce type de différend, en tant que client consommateur, vous disposez donc d’un choix entre le Médiateur de la consommation auprès de la FBF et le Médiateur de l’AMF. Dès lors que vous avez choisi l’un de ces deux médiateurs, vous ne pouvez plus saisir, pour ce même différend, l’autre Médiateur.

Vous pouvez saisir le Médiateur de l’AMF par voie électronique sur le site internet de l’AMF : www.amf-france.org/fr/le-mediateur ou en adressant un courrier à l’adresse suivante :

Le Médiateur de l’Autorité des Marchés Financiers
17 place de la Bourse
75082 Paris Cedex 2

Le Médiateur de l’Assurance

Le Médiateur de l’Assurance est compétent pour les litiges sur la souscription, l’application ou l’interprétation d’un contrat d’assurance.

Vous pouvez saisir le Médiateur des Assurances en utilisant les coordonnées qui doivent être mentionnées aux termes de votre contrat d’assurance.

Afin d’assurer un traitement optimal de vos demandes, toute réclamation auprès de notre établissement peut être adressée à l'adresse suivante :

Service réclamations Banque privée
11, Avenue Emile Reuter
L-2420 Luxembourg

Ou par e-mail à l’adresse clienteleprivee.sglux@socgen.com et

pour les clients résidant en Italie à l’adresse societegenerale@unapec.it

La Banque s’engage à accuser réception de votre demande dans les 10 jours ouvrables suivant sa date de réception et à vous apporter une réponse dans un délai maximum de 30 jours ouvrables à compter de sa réception. Si votre demande devait nécessiter un délai de traitement supplémentaire (recherches complexes…), nous vous en informerons endéans ce même délai de 30 jours ouvrables.

Dans l’hypothèse où la réponse qui vous est apportée ne correspondrait pas à vos attentes, nous vous informons de la possibilité :

En premier lieu, d’adresser à la Direction de Société Générale Luxembourg en charge du traitement des réclamations, votre demande à l’adresse suivante :

Secrétariat Général de Société Générale Luxembourg
11, Avenue Emile Reuter
L-2420 Luxembourg

En second lieu, si la réponse de la Direction en charge du traitement des réclamations ne permet pas de clore la réclamation, de disposer de la faculté de saisir l’Autorité de tutelle de Société Générale Luxembourg, la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF) :

Par courrier : 283, Route d’Arlon L-1150 Luxembourg
Par courriel :
direction@cssf.lu

Afin d’assurer un traitement optimal de vos demandes, toute réclamation auprès de notre établissement peut être adressée soit par e-mail à l’adresse suivante : servicequalite.privmonaco@socgen.com ou par courrier à notre service dédié :

Sociéte Génerale Private Banking Monaco
Middle Office – Service Réclamation 
11 avenue de Grande Bretagne 
98000 Monaco

La Banque s’engage à accuser réception de votre demande dans les 2 jours ouvrables suivant sa date de réception et à vous apporter une réponse dans un délai maximum de 30 jours ouvrables à compter de sa réception. Si votre demande devait nécessiter un délai de traitement supplémentaire (recherches complexes…), nous vous en informerons endéans ce même délai de 30 jours ouvrables. 

Dans l’hypothèse où la réponse qui vous est apportée ne correspondrait pas à vos attentes, nous vous informons de la possibilité d’adresser à la Direction de Société Générale Private Banking Monaco en charge du traitement des réclamations, votre demande à l’adresse suivante : 

Sociéte Génerale Private Banking Monaco
Secrétariat Général 
11 avenue de Grande Bretagne
98000 Monaco

Toute réclamation auprès de notre établissement peut être adressée par messagerie électronique à l’adresse suivante :

sgpb-reclamations.ch@socgen.com

Les clients peuvent également avoir recours à l’Ombudsman des banques suisses dont les coordonnées figurent sur le site :

www.bankingombudsman.ch

 

 

Weekly Update - Etats-Unis : Une radiographie du déficit budgétaire

Le déficit fédéral américain a surpris nettement à la hausse en 2023, s’élevant à plus de 6% du PIB. Selon plusieurs projections, il resterait à un niveau élevé en 2024. Cette trajectoire a inquiété les marchés quant à la soutenabilité de la dette publique américaine et a participé à la forte hausse des taux de long terme observée durant l’automne. Une analyse détaillée montre que l’élargissement du déficit s’explique principalement par la baisse des revenus de l’Etat fédéral ainsi que par la hausse de la charge de la dette. Malgré le déficit élevé, le ratio de dette publique reste cependant stable, grâce à une croissance nominale forte. En cas de conjoncture économique moins favorable, le gouvernent aura facilement des leviers pour ajuster la trajectoire, à condition de disposer d’un équilibre politique suffisant.

La baisse des revenus explique l’essentiel du déficit. Les Etats-Unis ont connu une croissance particulièrement élevée cette année, avec un PIB nominal – c’est-à-dire intégrant l’inflation – estimé à 6,6%. La logique voudrait que plus de croissance génère plus de rentrées fiscales et pour autant, les revenus de l’Etat fédéral se sont contractés nettement (environ -8% au mois d’octobre en rythme annualisé), expliquant une grande partie du creusement du déficit. Cette contraction provient en premier lieu de la baisse des recettes liées à l’impôt sur le revenu des ménages, elle-même due à trois facteurs : la baisse des recettes liées à la taxe sur les plus-values financières et immobilières (mauvaises performances des marchés en 2022), une période de grâce liée aux aléas climatiques et la poursuite de la baisse des taux d’imposition décidée en 2017 (mesure censée rester en place jusqu’en 2025). En deuxième lieu, la baisse des recettes s’explique par des moindres transferts de profits de la Réserve fédérale au Trésor. Enfin, les revenus liés à l’impôt sur les sociétés sont restés stables par rapport au PIB dans un contexte de réductions fiscales sur les investissements liées au plan de réduction de l’inflation (IRA). Au total, une partie de ces éléments est temporaire, ce qui devrait permettre une légère augmentation des recettes publiques en 2024 et donc une légère amélioration du déficit.

Une hausse des dépenses liée à la charge de la dette. Contrairement aux revenus, les dépenses publiques ont limité l’augmentation du déficit. Le ratio de dépenses publiques sur PIB continue en effet de baisser, de 30% en 2021 à 23% en 2023. Le remboursement anticipé des prêts étudiants (680 mds USD) explique une part importante de la baisse de cette année. Les autres grandes composantes de dépenses publiques (hors charge de la dette) ont évolué en ligne avec l’inflation. Ainsi, la seule dépense qui a augmenté significativement en 2023 est la charge nette de la dette (de 1,5% du PIB à 2,5% du PIB en 2023). La hausse des taux explique évidemment cette augmentation. Elle a en outre été exacerbée par un changement de composition du financement de la dette fédérale, avec une part de plus en plus importante de financement par de la dette de court terme dont les taux d’intérêt ont le plus augmenté (la dette de court terme représente dorénavant 20% du financement).

Un ratio d’endettement public qui reste contenu pour le moment. Malgré des déficits élevés depuis 2020, la dette publique est restée globalement stable, à 95% du PIB sur la période. Cette stabilité reflète essentiellement une croissance nominale du PIB qui reste bien supérieure à la charge de la dette. Tant que la croissance nominale restera élevée et supérieure à la charge de la dette, l’ampleur des déficits primaires ne devrait pas remettre pas en cause la soutenabilité de la dette publique américaine. En cas de net ralentissement de la croissance nominale couplée à des taux d’intérêt qui resteraient élevés, la trajectoire de la dette publique pourrait poser problème. Dans ce cas, les autorités pourraient logiquement revenir sur les baisses d’impôts récentes, et corriger sans trop de difficultés les déficits publics. Avec la question cruciale de la capacité à trouver un équilibre politique permettant de mettre en place de telles mesures.

Lire l'intégralité de l'article